Vidéo : raquettes à neige au Crêt Monniot
raquettes à neige au Crêt Monniot au départ d'Arc sous Cicon - passage par la neigère et la glacière
by Apoutsiak
raquettes à neige au Crêt Monniot au départ d'Arc sous Cicon - passage par la neigère et la glacière
Raquettes à neige à Valmorel
Raquettes à neige à Valmorel
Traversée des arêtes de Crève Tête
depuis Valmorel, par le refuge Pierre Larron, le sommet, descente sur le col du Gollet et les remontées mécaniques de Pierrefort
attention, passages potentiellement avalancheux dans la montée au refuge Pierre Larron et sur l'arête
un poil d'alpinisme sur l'arête pour accéder au sommet
bonne lecture
Bon promis, la prochaine fois, je change de spot...
Une jolie rando famille pour terminer la semaine
Vidéo
Topo
Depuis le Chinaillon, remonter la route du col de la Colombière jusqu'à l'altitude 1400 m (fermeture de la route) à proximité du hameau des bouts.
Du parking prendre la route du col jusqu'au virage 1511 m (un peu avant en fait) et remonter en direction de la combe à droite qui passe entre le Chapeau et la pointe de la Botte. *
Poursuivre ce font de vallon jusqu'à une crête peu marquée entre le point 1800 et la Tête d'Auferrand
Remonter la pente sous le sommet et par un mouvement enveloppant, (en gros prendre sous la crête à fond à droite pour basculer sur celle ci) remonter ensuite la crête jusqu'au sommet
descente : par le même itinéraire
Carto fichier GPS
Récit
Dernier jour de vacances, j'ai réussi à négocier une sortie familiale, la météo s'annonce pas terrible : des éclaircies entre 10 h et midi, mais ça a l'air moyen. Voilà donc les lutins et leurs parents réunis au parking. En gros le groupe se divise en 3 : les skieurs de randonnés : sujets mâles de notre groupe, les raquetteurs (ou raquettistes) : Sandrine et Marie; et notre François Bayrou de la montagne : Agathe, qui a décidé de monter en raquette et de descendre à ski. Et vous ne devinerez jamais qui porte le matos de mademoiselle l'indécise : c'est bibi !
Nous partons dans la bonne humeur, même si la motivation n'est pas énorme dans les troupes.
Sur la route du col nous croisons un parapentiste qui atterri à 10 m de nous alors que nous ne l'avions pas vu arrivé.
Louis montre des signes de faiblesse, il aurait envie de vomir, ces signes cliniques disparaissent très vite dès la descente à ski entamée. mais nous n'y sommes pas encore...
Nous attaquons la pente, les filles en tête. Les hommes se soutenant dans la difficulté. Bon, il n'y a pas de trace de montée, Sandrine s'y colle, je dois malheureusement refaire une trace adaptée au ski de rando pour Louis. Le vallon est austère mais la poudreuse présente. Nous croisons un skieur de rando qui descend déjà. et opérons une pause vers 1650 m.
La fatigue est là, et je sens les lutins peiner dans la poudreuse. je décide que leur calvaire s'arrêtera à la crête. Un raidillon permet d'achever les troupes, Agathe quitte ses raquettes pour grimper Louis petouille à mort ses conversions. Voilà tout le monde sur une bosse. Je leur propose de faire un igloo, le temps pour moi de faire un blitz aller retour au sommet. après leur avoir proposé de m'accompagner.
Je pars seul, le brouillard m'englouti, je les aperçois en contrebas, traçant une belle trace sous le sommet. Je rejoins sur le haut la trace de montée qui longe la crête sur la droite. Puis me voilà sur celle ci, grand beau, mer de nuage. 5 minutes après le sommet. J'appelle Sandrine au talkie, ça ne marche pas. Je décide de redescendre rapido. Ce qui fut dit fut fait. la poudreuse sous le sommet est divine, fine et légère. Je regrette juste la visibilité mauvaise, me fiant aux quelques arbustes pour apprécier la pente.
J'entends des bruits, je les appelle, ils sont là. je les rejoins, Louis et Marie ont fait des igloo de peite taille , Sandrine est congelée et Agathe se prépare : ski sous les pieds et raquettes dans mon sac...
les raquettistes sont partis devant, ils seront vite rejoint, les skieurs s'en donnent à coeur joie dans la poudreuse, veillant à bien rester sur les versants Nord, c'est là qu'il y a de la poudre !!!
Agathe a le style plutôt stressé, tandis que Louis prend un style engagé, qui lui vaut un looping avant de toute beauté et sans bobo à l'arrivée, juste un grand sourire et pas mal de neige dans la combi !
La descente se déroule tout en attente (ben oui il faut attendre nos raquettistes) Nous rejoignons la route enneigée en terminant tout en pimbarole ! Pour la route la technique change, Agathe prend mon sac et je prends Marie sur mon dos, tandis que Louis se tape sa mère sur ses skis, cette deuxième technique est assez peu efficace mais très casse gueule ! (voir le film à la fin pour les quelques images)
Nous gagnons le parking dans la bonne humeur générale !
Jolie sortie !
Photo
En montant au col de la Colombière
L'austère Vallon
Agathe dans le raidillon
Bagarre les raquettes à la main (technique toute personnelle)
Au sommet, vue sur la pointe de Chombas, gravie il y a deux jours, à gauche, la pointe Percée, à droite le Mont charvet
Descente : les raquettistes, en haut, Marie en difficulté !!!
Sortie Ski de rando + raquettes à neige
Rando famille !
sortie associée : Aiguille verte, Roc des Tours
Vidéo
Topo :
Depuis le Grand bornand rejoindre le Chinaillon, rejoindre le hameau se Samance
se garer à proximité de la piste qui part au dessus du hameau
suivre la piste qui file en direction du chalet des Crêts, poursuivre Nord Ouest. Prendre en écharpe pour rejoindre le point 1645 m puis bifurquer à gauche (Ouest) pour rejoindre le col entre le Roc des Tours et l'Aiguille verte.
Du col suivre l'arête qui mène au sommet de l'Aiguille Verte, pointe de Domingit (2045 m)
Redescendre au col
Variante du Roc des Tours
Du col rejoindre le point 1905 m par une sorte d'arête plate. Puis par les pentes sous le sommet rejoindre le Roc des Tours 1994 m
descente : rejoindre le col, le vallon puis Samance.
Autre possibilité : descente sur le lac de Lessy et le chalet de Lessy
Carto fichier GPS
Récit
Semaine de vacances à la clusaz, c'est le Grand jour, le jour de LA Rando famille, partir à l'aventure dirait ma tante Jehanne. Nous voilà au Grand Bornand, Marie à pied, Agathe et Sandrine en raquettes et Louis et moi en ski de rando. Et c'est parti, bon rapido on fait une pause déshabillage/ crème , il doit faire 15 °C, j'exagère à peine ... Je repars, les filles sont devant et Louis qui me dit. "Tu sues beaucoup papa" C'est vrai qu'il fait chaud me dis je. "Ca coule de ton sac !" Bon, je réfléchis pour faire le bilan :
1°) J'ai mis du déodorant ce matin
2°) J'ai une carline, mais bon, des fois on est quand même mouillé
3°) il fait chaud donc je dois suer un peu.
4°) J'ai trois bouteilles d'eau dans le sac pour toute la famille, il serait peut être de bon ton de vérifier qu'il n'y a pas de problème à ce niveau là...
5°) Vérification...
6°) Il y a un problème !
La gourde de grenadine a fuit ! Fond de sac tout poisseux, gants de rechange tout poisseux... j'adore ! reste dans la bouteille 250 ml sur le litre 1/2 de départ !
Bon on repart avec du retard sur les filles, elles n'attendent pas. Elles font une courte pause observation chamois (et ça c'est une victoire pour le parent, dès qu'il y a des animaux sauvage, la sortie est réussie !)
Après l'abreuvement du cheptel on repart, Sandrine Dré dans le pentu (en raquettes, ça le fait) Je reste avec Marie et Louis en serre file. On remonte un passage un peu pentu sous le chamois, puis on gange une grande combe. Sandrine et Agathe filent loin devant tandis que Marie et louis poussent la chanssonnette avec moi !
Arrivés au col nous découvrons un igloo. Petite pause avant d'attquer les pentes finales. Les raquettistes merdouillent : d'abord Sandrine puis Agathe qui manque de glisser. Finalement tout le monde à pied, je fais la trace. Voilà enfin le sommet !
Quelques bouquetins sont en contrebas. Nous regardons les skieurs de rando descendre vers le lac de Lessy sur une neige béton peu agréable !!!
On se fait un bo pique nique sous le sommet avant de redescendre au col. Je file alors vers le Roc des tours pendant que les enfants s'amusent. Je croise au moins 50 raquettistes en pause pique-nique.
Du sommet, la descente est toute croutée. Je perds d'abord un ski mal fixé, puis je me gauffre lors d'un virage dans la croute, la Claaaassseee !
Je recroise mes raquettistes avant de rejoindre la petite famille au col. C'est parti pour la descente. Et là, gros avantage pour les skieurs de rando : on va 10 fois plus vite. Nous skions les pentes transfo sous l'aiguille Verte. trop bon, comme disent les jeunes. Les filles se retrouvent englouties dans le groupe de raquettistes (j'en est comtpé 27 sur une photo appartenant au même groupe !)
En bas de pente, on se retrouve tous. Les raquettistes filent vers le col de la Colombière tandis que nous descendons vers le Chinaillon. La partie est peu raide mais reste agréable. Avec Louis, on passe plsu de temps allongés à attendre que debout sur les skis. Derniers virages et voilà la voiture.
Belle sortie !
Photo
C'est parti !
Sandrine, bientôt dré dans le pentu !
A quelques encablures du col
Sur l'arête (ou presque)
"Il y a des bouquetins en contrebas"
Retour aux raquettes
L'aiguille Verte depuis le Roc des Tours
Mont de la Maya
"L"aventure commence à l'aurore !" , voilà le débu d'une chanson de brel que j'avais apprise à l'école municipale de musique de Mouvaux il y a fort longtemps...
En plus le mot "aventure" aujourd'hui il est mis à toutes les sauces grace à la téléréalité...
la veille, la motivation des troupes était proche de zéro, il allait falloir assurer !
Vidéo
Topo
De Sainte Croix, col des Etroits, prendre la route de Noirvaux, se garer en face de la route qui vient de la Chaux, la Vraconnaz !
De là remonter la piste jusqu'à l'épingle. Prendre à gauche, le sentier (balisé) qui remonte dans la gorge (chaines) ça passe à pied, pas à ski et rejoint le saut de l'eau. traverser le pont et remonter le flanc gauche (raide et un peu engagé pour les enfants) pour passer au dessus et rechausser les skis. Remonter le vallon jusqu'au point 1217 m de la CNS. Prendre le vallon de gauche et le remonter, traverser la route qui mene au chalet de la Maya et rejoindre le sollier en poursuivant Nord Est 1360 m
Possibilité d'aller au Mont de la Maya depuis le Sollier (1465 m)
Possibilité d'aller aux petites Roches en remontant les pentes de celles ci. ça passe entre deux barres au sud du sommet.
Pour la descente des petites Roches, prendre le long de la forêt au Nord de la combe(neige bien meilleur)
Descente
Soit par les Auges, soit en descenedant au point 1217 et en prenant le chemin de l'autre coté du cours d'eau à droite. Remonetr la piste , continuer le long du champs et prendre à droite dans le grand champs puis retrouver la piste qui ramène à la voiture
Carto
GPS
Fichier GPS au format GPX
Materiel utilisé
Nouvelle rubrique pour vosu présenter le materiel et les techniques utilisées lors de cette aventure
Recette donnée pour 5 personnes : 2 adultes 3 enfants !
2 skieurs de randonnée
2 raquettistes à pied
1 Pietone (faute de raquettes)
1 luge (porte materiel et porte enfants fatigués à la monéte et sur les plats) Bien agréable pour les raquettistes à la descente et pour les pauses !!!
2 pelles à neiges (pas très utiles compte tenu de la qualité de la neige (mais c'est pas lourd !)
Récit
La veille, la motivation des troupes étaient proche de zéro, il allait falloir assurer !
Je proposais un plan un peu spécial comme nous nous en offrons chaque année : Monter au Mont de la Maya par le Sollier en passant par le Saut de l'eau que je ne connais pas ...
A 10 heures nous sommes audessus de Noirvaux. Chacun s'équipe et c'est un peu long. Nous sommes pas mal chargé ! Les filles partent devant, je reste avec Louis (oui, les skieurs de randonnée ça ne parle pas aux raquetistes !)
Au premier virage hésitation, prendre la gorge ou pas. L'idée me tente, on file à gauche. Rapidement, je vois qu'il faut enlever les skis. Agathe et Marie tracent devant. je gère derrière, une luge à la main, les bâtons dans l'autre, les skis sur le sac. Comment on fait pour tenir la chaîne ??? Voilà le saut de l'eau, magnifique, à moitié gelé. A peine arrivé, les enfants sont déjà repartis sur la gauche, dans un passage qui pararit bien raide. Ca passe, avec les skis, ça touche un peu... on se retrouve au dessus , pour un pause chocolat chaud qui a bien du succès. On remet les skis pour atteindre le pied d'une grande combe. J'essaie de faire une trace pas trop raide. Louis pein un peu dans les passages un peu raides avec une fne poudreuse sur des portions bien gelées !
On voit la ferme du Sollier. battue par le vent chacun progresse au mieux pour rejoindre la ferme. Par chance il y a une petite table derrière une vtre qui protege l'endroit du vent. On s' y abrite tous pour pique niquer, on a même fêté les rois, Sandrine avait prévu la galette. Et hasard ou pas je suis devenu le Roi du Chasseron !!!
Apparté météo, la veille, ils annonçaient du brouillard en dessous de 1300 1400 m avec 10 km/h de vent bize. Sur place on s'est retrouvé avec un grand beau temps sec, mais -10°C et 40 à 60 km/h de vent.
Après le repas nous decidons de redescendre au point 1217 m à l'abrit du vent et au soleil.
Descente dans une neige dure puis croutée par endroit assez difficile à skier.
Agathe mène la luge avec une dextérité impressionante et Louis survole la neige crotuée ce qui n'est pas mon cas. Je les laisse en bas faire des tours de luge et remonte au Sollier puis je mets les couteaux direction les Petites Roches. Le vent a soufflé la neige et le peu que l'on trouve est bien dure et verglacée ! Vraiment peu agréable à remonter ! Dans le vent, je rejoins la crête et je déchausse sur celle ci. Il y a du monde en haut du téléski des Rasses !
La vue est magnifique (comme d'hab)
Je redescends aux skis, trouve un endroit pour rechausser et c'est parti. Je longe la forêt pour trouver la poudreuse tassée bien agréable (j'ai failli descendre aux Deneriaz. Puis je traverse pour rejoindre le Sollier et son col puis la combe qui mène à sandrine et aux enfants. Belle chute dans la neige croutée à noter ! Je me fais une belle descente en luge. puis nous repartons pour une petite montée avant de trouver la descente. Louis se charge de tirer la luge avec Agathe (et parfois Marie).
Joli passage dans un grand champs avec les lumières de l'hiver et les sourires de chacun !
Dernière descente de piste , je porte Marie sur mon dos tandis que Louis tire la luge d'Agathe. Nous croisons 5 chamois (de loin) et retrouvons la voiture. Tout le monde a un peu dormi sur le chemin du retour...
Photo
Saut de l'eau
Pause chocolat chaud ou stalactite !?!
dans la combe
Et c'est Apoutsiak, le roi du Chasseron ! (avec sa reine !)
Descente
Les luges, bienvenues !
Attention, traffic !
La seule personne, un peu sérieuse du groupe !
Un peu de vent sous les petites Roches
Sommet des petites Roches, le Chasseron
Le Mont Blanc
Attention au départ, attention à la fermeture des portes !
La solitude...
Regroupement
Technique familiale pour faire avancer une luge quand ça n'est pas assez raide.
Magnifique randonnée raquettes sur le Grand Colombier.
Compter 4-5 heures aller retour
Vidéo
Topo
Se garer au col de la Biche ou un peu plus loin si la route est ouverte (en le col de la Biche et sur Lyand )
Du col de la Biche 1310 m, sui vre la route qui descend dans la combe du Cimetière et la quitte pour rejoindre la crête à l'Est (sentier d'été) Progresser ensuite au mieux sur la Crête (direction Sud Sud Est) pour rejoindre le petit sommet 1419 m. Passer à proximité de la griffe du diable et rejoindre le point 1427 m.
De là descente vers le point 1358 m (collet) légère remontée sur l'Ecartary avant de rejoindre le col de Charbemènes 1317 m.
Poursuivre plein Sud en forêt (GR9 Tour du Valromey) , gagner le point 1499 m (antécime) puis la croix du Colombier 1525 m (table d'orientation ) départ possible en parapente.
Retour
Rejoindre le col de charbemène par le même itiénraire. puis direction la Novelles en descendant à flanc Ouest passer devant Sapin Daubrée ( de 300 ans si mes souvenirs sont bons ) et rejoindre le point 1152 m sur la carte IGN (plein Nord)
Remonter alors le vallon d'Arvières, pour déboucher dans une grande Combe qui permet de rejoindre la route du col de la Biche
et la boucle est bouclée
Carto
télécharger le fichier GPS (au format GPX)
Récit
Qu'il parait loin le Colombier depuis le col de la Biche . Et dès le départ , je vois dans son oeil le reproche, ça va être COMME D'HABITUDE, trop long !!! D'autant plus que je le pense aussi ! J'avais déjà tenté cette balade avec Thib il y a 4 ou 5 ans et nous nous étions trompés de crête, bref , un joli but rando.
Là nous partons correctement, en suivant la route vers le haut du vallon d'Arvières avant de remonter en face, sur la BONNE crête. Le vent se lève, le soleil est là, le Colombier est bien loin. Je galope devant, et Sandrine suit. Le terrain est valloné, idéal pour la raquette. La neige est scultée par le vent, ce qui rappelle à Sandrine les dunes de son enfance, un bon point pour moi, c'est toujours ça de pris ! Sur Lyand, c'est long, mais c'est beau. passage sur un petit sommet, puis un autre, tout va bien. Voilà la fameuse griffe du Diable. Par chance, il n'est pas là, sans doute fait il trop froid ! On ne fait pas de vieux os et on file. Moi toujours devant, ma douce, derrière, se laissant désirée... descente parfois un peu impressinante sur le col de Chermotanes. Mais tout est tracé ce qui permet d'avance sans stresser et rapidement ! Sandrine montre des signes de faiblesse. Je lui propose une pause, elle souhaite poursuivre vers le sommet ! Je m'octroie un petite pause bouffe plus vidage de la carte d'appareil photo pendant qu'elle poursuit, puis je la rejoins à fond de train. Sortie de la forêt, un joli dévers bien désagréable en raquettes, puis la neige devient rare (comme souvent sur les crêtes jurassiennes) la Croix n'est plus très loin, nous croisons un randonneur à ski en mal de neige sur ce sommet de joncs givrés ! dernier raidiollon, elle n'a pas aimé. trop raide, trop fatigué, et dire qu'il faut rentrer... Nous sommes si loin de la voiture...
Quelques photos et c'est reparti dans l'autre sens. Descente au col et pause pique nique avant de desscendre ves le vallon d'Arvière. bon, les adeptes du GPS ne m'en voudront pas, j'ai fait une légère erreur d'itinéraire que j'ai corrigé en coupant tout droit , dré dans le pentu pour rejoindre le bon itinéraire. Vous savourerez le légendaire "ça passsssseeeeee ! en suivant à la lettre le fichier GPS ! et effectivement, ça passe ! sans trop dep roblème !
Sandrine fait une pause technique coupage des ongles de pieds qui font mal (bon, sous la neige c'est original) et nous rejoignons le vallon d'Arvière. Il neigeotte, changement de paysage. Après les crêtes de la Griffe du Diable, voilà le vallon sauvage. Noussuivons le lit du torrent, rêvant au notre avant de continuer dans la forêt. Une dernière immense combe nous ramène à la route puis à la voiture après une belle journée de montagne.
Sandrine est revenue fatiguée , mais contente !
Photo
sur Lyand
Montée...
Grand Colombier : c'est bien loin : au fond à droite !
Griffe du Diable, au fond, le Grand Colombier
Sur lyand, faux plat...
Falaise
Descente sur le col de Charmotène
dernière pente, dévers désagréable
Sommet du Grand Colombier ! (sans trop de neige)
Retour par le vallon d'Arvière
La grande combe pour s'achever
Joli sommet sans grosses difficulté avec une magnifique vue sur le lac Léman et les alpes !
Topo
Se garer au Tabagnoz (1251 m) et rejoindre la Pétroule par la piste de ski (1429 m)
redescendre sur le plateau (Sonnailley au Prince) et gagner les contreforts de l'arête, de la le sommet de la Dôle 1677 m
Du sommet, prendre nord en direction du Reculet Dessus (piste noire) 1479 m
Du point 1464 m prendre direction ouest, au mieux, pour rejoindre les Tabagnoz
Carto
Récit
Les pistes des Jouvencelles étaient verglacées sous la pression des canons à neige et les hors-piste absent (faute de neige) , je décidais pour ce deuxième jour du week end de ski, d'emmener tout la troupe au sommet de la Dôle.
L'aubergiste nous prévint de la difficulté de l'entreprise, nous donnant moultes exemples de sportif de haut niveau s'entraînant sur le prestigieux sommet ! Il nous affirma que nous allions nous enfoncer de 40 cm dans une neige soupe qui allait nous ralentir. Ma troupe était inquiète et commençait à parler de ne faire qu'une partie de la rando en s'arrêtant au pied des difficultés.
Je désirais aller faire un repérage à la vavite le matin tôt, mais ma moitié me l'interdisait ! Je rongeais mon frein et après un copieux petit déjeuner, nous nous retrouvions dans le magasin de location pour louer des raquettes !
La gérante fort sympatique au demeurant tentait de me louer une pulka... Le gérant répondait aux questions des adultes, oui, il y avait beaucoup de neige, elle devait être dure comme du bois. A nous de choisir entre la version de l'Aubergiste ou du gérant du magasin de sport. Dans tous les cas, les conditions s'annonçaient rudes !
Enfin ce fut le départ des Tabagnoz, le groupe s'étendait rapidement, Fabrice et Martine motivait Léa dans les rudes pentes de la piste rouge. A chaque replat une pause fut organisée. Fabrice s'amusait même à faire faire de la luge ... à son appareil photo ! Il aime le dénivelé Fabrice !
La première descente fut réussie avec descente en luge pour les uns et sur les fesses pour les autres !
Fabrice trainait, il récupérait les affaires que Martine, tel le petit Poucet avait laissé choir le long du chemin (pour cause
de sac à dos ouvert !)
S'en suivi un long plat et une bonne pause pour ratrouper tout le monde.
De là, je décidais de monter sur la crête, au nez... Une combe un peu raide m'attirait, nous parons dedans. Du haut, je conseille à Fabrice, Martine et Léa de contourner le difficulté, en prenant à flanc ! Un deuxième mur raide fut passé et une nouvelle pause. Nous sommes presque à la Crête. Le moral est en baisse, on ne voit plus les bulles du sommet. Courte traversée, sommet en visuel. On remonte un petit mur raide. Certains déchaussent sur la crête dénudée. Et voilà le sommet. Il faut retrouver Fabrice et Martine. Coup de téléphone. J'essaie de les diriger à distance (Fabrice : "on est monté, on retrouve un chemin, c'est à droite ou à gauche" - Moi " Qu'est ce que vous voyez ?" Martine " On ne voit rien on est dans la forêt" Moi " Prenez à gauche et si vous trouvez un panneau ou une clairière avec un peu de vue vous m'appelez !" ) Ne jamais séparer un groupe en deux. Tout se termine bien, je file à leur rencontre. Je fais les 100 derniers mètres avec eux. La pause casse croute est bien méritée.
Les garçons se font un tremplin de luge avant une séance photo face au Mont Blanc.
Et c'est le début de la descente. D'abord classique, sur ses deux jambes avant de tourner bizarrement, en pelle à neige ou sur le ventre. Comme des Manchots !
Fabrice a le dos endolori sous le poids de Léa.
La descente devient épique, je prends des itinéraires inédits, et raide. Ça passe, au pris parfois de belles glissades , parfois il faut réfreiner les ardeurs des enfants un peu trop enthousiaste .
Et voilà la voiture puis le vin chaud ou le chocolat bien mérité. Pour conclure cette belle journée.
Départ un peu gelé
Fabrice et Léa
Première courte descente
Agathe
Emmanuelle (oui oui, celle de question pour un champion !) et Sandrine
Le groupe au sommet
Le Mont Blanc et ses accolytes
Début de descente, sérieuse !
Martien s'est mangé un sapin !
A la frontière Franco suisse, un peu de géographie, on a joué les douaniers
A quelques encablures de la voiture, ça discute encore - Sandrine et Martine
Le sommet de la Dôle
Topo :
Voir randonnée au Creux du Van
Récit :
Ce Dimanche là, les guiboles me démangeaient. J'avais prévu initialement un petit tour en ski de rando du coté du Chasseron, mais la nivologie ou plutôt l'absence de neige m'ont poussé a trouver un autre plan. Je me décide donc pour un plan "faune sauvage" au Creux du Van avec bouquetins obligatoires.
Je contactais le Yann Giezendanner local, c'est à dire moi même, et je me prévoyais un peut optimiste, une matinée correcte (sans préciptitation) avant une après midi plus humide...
Je grimpais dans ma puissante berline sous un ciel étoilé, tout débutait bien, un énorme Cerf, me faisait une démonstration de saut de clôture, à peine ébloui par mes phares dans les Monts de Gy. Pour la faune sauvage, j'étais dans le juste !
Arrivé à Norraigues, le temps est couvert avec un peu de nuages, mails il fait tiède. Pas un pêt de neige à l'horizon, heureusement que je ne suis pas parti faire du ski de rando... J'installe mes raquettes sur mon sac et c'est parti. 6 h 30.
Je passe la brocante et rejoins la ferme des Oeillons dans le noir. Je poursuis sur le sentier et le chien de la ferme, me prends en grippe à distance, et aboie à fond ! Pour la faune sauvage c'est moins bien, ainsi que pour ma quiétude personnelle ! Il fini par se taire (ça a duré un moment...)
La glace apparaît sur le sentier avec un peu de neige éparse... 1100 m environ. Je fais attention de ne pas glisser sur les plaques de glace, les raquettes vont sans doute être inutiles, ça les aura promené ! Entrée du Creux du Van, photo , le soleil rougeoie à peine au fond sous une épaisse couche de nuages ! Je continue sur le fer à cheval. et me dirige vers le plongeoir, je pose mon sac, ils sont là, fidèle au rendez vous. Je mitraille, mais les photos sont difficile à faire, il fait sombre et elles ont tendance au sombre. Je m'équipe pour ne pas avoir trop froid, la température à baissé et une fine pluie est là avec un vent qui se lève.
Je les observe, me délectant de ces moments. Je les contourne pour faire d'autres plans. Après m'être concentré sur le mâle, je me laisse attendrir par le jeune, qui doit avoir deux mois (à vérifier) Il est tout mignon. Après en avoir bien profité, je les laisse à leur broutage de sapins !
Je poursuis vers le sommet du Soliat dans la tempête et le vent, dur de tenir le cap. De celui-ci, je décide de poursuivre plein nord et rejoindre la crête. 3 chamois sont aussi surpris que moi de notre rencontre. Ils n'ont pas l'air d'apprécier. Je les retrouve un peu plus loin. Je parviens à m'approcher en ma cachant derrière un arbre, je me bats avec l'humidité ambiante qui colle aux objectifs. Enfin ils me repèrent et c'est la fuite, je les retrouverais une troisième fois un peu plus loin !
Je décide de descendre au pied de la falaise. Ça passe plutôt pas mal. Arrivé en bas je hausse les raquettes ( et oui, avec le vent, le pied des falaises est plein d'une neige plus ou moins profonde. Je longe la base du Creux du Van observant les parois. Je rejoins le sentier. Pique nique avant de rentrer à la voiture, trempé (ah oui, il n'a cessé de pleuvoir depuis le sommet, voir avant ! )
Une bien belle journée !
Petite sortie familiale qui se prête mieux aux raquettes qu'au ski.
Topo :
Parking d'Haber Poche prendre la direction du col des Moise, après Ramble se garer au dessus au premier virage à gauche (chemin forstier et maison au dessus.
Du parking prendre le chemin forestier plat qui aprt à l'Est jusqu'aux Granges Mamet. Remonter le chemin forestier jusqu'au col de l'Encrenaz (1429 m) puis dans la combe à l'Ouest vers le sommet 1539 m statue de François de Salle.
Descente
Par le même itinéraire jusqu'aux Granges Mamet rejoindre ensuite Docy et al route nationale.
Récit
Sortie familiale. Seul en ski de rando, Ariane et Agathe en raquettes, les autres à pied (Sandrine, Jean-Marc, Louis, Marie et Simon; 8 aventuriers dans l'aventure.
Premier problème, je ne retrouve plus le topo trouvé à l'office du tourisme. Par chance nous trouvons quelqu'un qui nous précise que nous sommes au bon parking !
Le groupe s'ébranle sur le chemin plat, il y a là quelques traces de raquettes. Nous rejoignons les Granges Mamet. C'est le drâme, j'ai oublié mon appareil photo à la voiture (donc pas de photos dans cet article. Les raquetistes montrentdes signes de faiblesses dans al montée, tandis que Marie fait la trace dans 30 cm de poudreuse ! Mal de tête voir sinusite pour l'une , asthme pour l'autre, les deux grandes jettent l'éponge. Louis se dit fatigué et décide de renoncer aussi. Jean-Marc sera l'adulte accompagnateur. Je lui laisse la clef de ma berline et nous poursuivons. Je passe devant. Justin Marie et SAndrine suivent. Nous parvenons au col de l'Encrenaz, dans le vent. Je décide de faire une pause un peu plus haut, à l'abrit des sapins ! Le Mont blanc vanille coule à flot (une boite pour 4 !) ainsi que les Grandola chers à Sandrine. Malheureusement nous n'avons pas récupéré les raquettes et les piétons s'enfoncent jusqu'aux cuisses. Je ferais office d'étage upérieur de la fusée en allant jusqu'au sommet, les derniers mètres à pied faute de neige suffisante !
Je salut Fraznçois de Sale et me lace dans la descente. Ca touche par moment sur le haut. Puis c'est le chemin forestiers, défoncé par nos traces, peu agréable à skier , (je skie sur les contrepentes du chemin !).
Ils en ont fait du chemin les 3 autres, je les retrouve aux Granges Mamet et décide de prendre alternativement Justin et Marie sur mon dos, proposition qui a un grand succès. Sandrine suit, chargée comme un baudet (j'a du lui filer mon sac à dos !) Nous arrivons au village de Doucy et je décide de changer de technique, un enfant sur chaque ski se tenant à mes jambes, nous sommes sur une route mal déneigée et ça skie doucement ! Technique qui a un grand succès elle aussi, les enfants me poussant dans les rares montées ! A la route, il faut déchausser et nous rentrons au chalet à pied, par celle ci !